L’autre jour Joe Strummer, adossé au bar du cimetière, partageait le même regret avec Lemmy de Motorhead et Joey Ramone :<br/>
n’avoir jamais joué à la Féline !
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Depuis 10 ans, le bar est devenu la plaque tournante du rock’n roll à Paris, là où pulse l’âme électrique, où résonnent les rythmes du diable,
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où viennent boire les grands fauves et les panthères au coucher du soleil, où les tatouages ne sont pas des effets de mode,
où les performeuses burlesques se lâchent, où les dj’s usent leurs platines...