La Cave Poésie René-Gouzenne – située au cœur de Toulouse – accueille depuis 50 ans les amoureuses et amoureux de théâtre, de poésie, de belles écritures et de chansons.

Comment être une fée quand on n’a pas de baguette ?
Comment trouver la joie quand on a mal au ventre ?
Comment survivre à l’impuissance ?
Bel Armel est un être complexe et changeant. C’est le nouvel avatar de Christelle Boizanté, dont la personnalité fantasque se plaît à se matérialiser dans des êtres divers. Précédemment incarnée dans la peau d’Orlando le Trio, elle dessine aujourd’hui un autoportrait au plus près de ses propres contours. Elle allume des feux de Bengale, s’enroule d’un voile en cellophane qui devient le kimono d’une princesse japonaise, dérobe la coiffe de plumes d’une grande chamane… Elle a gardé, très aiguisé, son esprit d’aventure et se délecte de métamorphoses. Sa voix racle, mord ou rayonne, elle nous entraîne dans des paysages moelleux et pulsatiles, au creux desquels s’agitent des corps extravagants.
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6 > 13 €
1 h · Côté cour

Une chanteuse percussionniste estonienne et deux souffleuses de cuivres du Larzac vous proposent un concert-spectacle au système de diffusion original : des trompes et des pavillons de gramophones…
La Femme pavillon invite son public dans un univers-son joyeusement franc et poétiquement punk : un trio déconcertant au naturel brillant. Ça cogne de l’intérieur, ça a des couleurs multiples : chansons, textes à musique, morceaux instrumentaux, improvisations (matières sonores), diffusion de sons enregistrés.
Le répertoire est entièrement original. La durée des morceaux est variable : elle excède volontiers le format habituel, pour suivre souffle, respiration, exploration, suspension, transport.
Ouvrez grand vos oreilles, voici La Femme pavillon et ses trois drôles de dames !
Le 12, La Femme pavillon se baladera dans la journée du côté de Bagatelle…
Élise Chatelain : trombone, voix & mixage en direct
Séverine Fel : soubassophone & mégaphone
Lembe Lokk : chant & grosse caisse
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6 > 13 €
1 h · Côté cour

Prenez une harpe classique, ajoutez-y des pédales de boucles et d’effets, faites mijoter avec des arrangements de musique pop ou jazz, pimentez le tout d’improvisations et de compositions personnelles : voici le menu de la soirée.
Une harpiste, cheffe d’orchestre, compositrice et exploratrice, qui collabore avec nombre d’artistes de la scène toulousaine et d’ailleurs, comme FrederikA, Mélanie Fossier, François Dorembus, Ernest Barbery, le slameur Mighz, le saxophoniste Ferdinand Doumerc ou encore le compositeur Laurent Rochelle…
De fait, chez elle la musique a un goût de cuisine fusion.
Vous réservez votre table ?
Rébecca Féron : harpe électro-acoustique & machines
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6 > 13 €
1 h · Côté cour

Une chanteuse percussionniste estonienne et deux souffleuses de cuivres du Larzac vous proposent un concert-spectacle au système de diffusion original : des trompes et des pavillons de gramophones…
La Femme pavillon invite son public dans un univers-son joyeusement franc et poétiquement punk : un trio déconcertant au naturel brillant. Ça cogne de l’intérieur, ça a des couleurs multiples : chansons, textes à musique, morceaux instrumentaux, improvisations (matières sonores), diffusion de sons enregistrés.
Le répertoire est entièrement original. La durée des morceaux est variable : elle excède volontiers le format habituel, pour suivre souffle, respiration, exploration, suspension, transport.
Ouvrez grand vos oreilles, voici La Femme pavillon et ses trois drôles de dames !
Le 12, La Femme pavillon se baladera dans la journée du côté de Bagatelle…
Élise Chatelain : trombone, voix & mixage en direct
Séverine Fel : soubassophone & mégaphone
Lembe Lokk : chant & grosse caisse
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6 > 13 €
1 h · Côté cour


Chanteuse, flûtiste, autrice, compositrice et arrangeuse franco-japonaise, Maïa est une artiste unique.
Elle mélange les chants ancestraux japonais avec du rap franco-japonais, groove, electro, chanson avec une grande liberté. Elle associe une technique vocale méconnue – provenant d’une île au Sud du Japon – avec une flûte traversière, percussive et insolente. La presse allemande la nomme « la Shaman punk ! ».
Maïa a cette capacité exceptionnelle à réaliser des mélanges improbables. C’est de là que naît son style inimitable et reconnaissable.

Christelle Boizanté on la connait pour de grandes et belles aventures en chanson : Les Petites faiblesses, Orlando, Bel Armel...
Fabrice Guérin on l’a entendu dans Les Poids Plume, Les deux maris de la femme poisson.
Ces deux-là se retrouvent sur scène pour un nouveau duo : Plus rien d’humain.
Des samples compacts de percussions, une guitare sombre et par dessus encore, une voix claire.
La guitare déroule un tapis, parfois nerveux, de sonorités puissantes. Christelle déchante en français une radiographie acide du monde qui nous entoure.
Christelle Boizanté : voix & machines Fabrice Guérin : voix, guitare & machines

Poisson d’eau douce c’est deux amis d’enfance qui dépoussièrent l’esprit rock des années 70, à travers un rap onirique, planant et résolument romantique. L’un écrit et chante et l’autre compose et produit. On a pu entendre le duo toulousain au Connexion Live ou encore au Metronum. Dans leur nouvel EP de 6 titres Coucher de soleil sur le Titanic, ils cherchent à déserter ensemble une guerre invisible et construire des hâvres.
"Ma tête fait boum comme Beyrouth
Cette lumière c’est un havre de paix
Avalé par la grâce je meurs
Gros Zeppelin à la place du coeur
J’ai jamais su piloter"

PRIX LIBRE

Les élèves du Conservatoire à rayonnement régional de Toulouse, section théâtre, ont désormais coutume de se frotter à la forme hybride et populaire du Cabaret. Dès la rentrée, ielles travaillent à la construction entière de ce projet (mise en scène, décor, costumes, musique…).
L’année dernière, ielles étaient allées voir du côté de Brecht, en compagnie de Katharina Stalder.
Cette année, ce sera une création collective accompagnée par Hugues Chabalier

PRIX LIBRE

Tous les mois, les soirs de pleine lune, la Cave Poésie offre une scène ouverte à toutes celles et ceux qui désirent monter sur les planches…
Chacun·e prépare une intervention de dix minutes maximum. Toutes les disciplines artistiques sont acceptées. Les inscriptions sont ouvertes quinze jours avant chaque soirée, elles sont libres et gratuites mais le nombre d’inscrit·es est limité, alors à vos agendas…

Attention ! Un délai de 6 pleines lunes est demandé entre 2 participations. (Et oui, il faut de la place pour tout le monde…)
Les inscriptions se font uniquement par téléphone à partir de 9 h 30 (05 61 23 62 00)

Corentin Grellier s’exprime en chansons… En chansons sentiments. Chansons tristes et chansons joie. Chansons deuil et chansons amour. Chansons printemps et chansons oiseaux.
Comme des petits morceaux de poésie, à se glisser dans les poches, pour avoir de quoi siffloter les jours de pluie. Depuis qu’il a gagné le Prix chanson Claude Nougaro en 2015, il en a fait du chemin…
Le voici à la Cave Po’ pour une semaine festive, entouré d’ami·es.
"Si l’intimité est une maison, j’avais envie d’en ouvrir la porte et les fenêtres. D’inviter des ami·es à entrer, à venir boire un coup, à chanter à tue-tête, à faire sonner les klaxons, à taper sur des casseroles, à gratter ce qui démange !"
> Mardi 2 août | Corentin Grellier solo (guitare & voix)
Il y a du vent, du soleil et de la pluie, de l’or et de la boue, des larmes, du foutre et du sang. Un peu de tout, un peu de rien. Tout autre chose… Des hommes, des femmes et des enfances… Moi, vous. Nous, j’espère.
> Mercredi 3 août | En duo avec Claude Delrieu (accordéon)
Corentin Grellier fait des chansons comme on se fabrique des cabanes : entre refuge et aventure. Claude Delrieu accorde son accordéon à ce qui chante autour de lui : entre cascade et velours.
> Jeudi 4 août | En trio avec Claude Delrieu & Éric Lareine (voix)
Le duo sera rejoint un soir par Éric Lareine. Celui-là manie les mots, nous chante et nous parle, et voilà un trio musicalement poétique…
> Vendredi 5 & samedi 6 août | Sept-têtes
On finit la semaine avec un septet, sept têtes réunies « pour sourire sur la gueule du monde, pour se serrer les coudées franches, pour s’embrasser quand il fait froid ou quand il fait envie. Pour s’apprendre mutuellement à allumer des incendies de joies. »
Corentin Grellier (guitare & voix), Claude Delrieu (accordéon) ,Julien Heurtel (batterie), Flore Galais (contrebasse & basse), Mathieu Cesari (guitares), Alexandre Lantieri (clarinettes & saxophones), Sylvain Avazeri (trompette & trombone)
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6 > 13 €
1 h · Côté cour

Une chanteuse israélienne, un accordéoniste dopé aux balkans, un contrebassiste au groove envoûtant et un percussionniste turcoécossais marchent sur les traces des diasporas juives et tziganes, à travers les siècles et les mondes.
Des textes en hébreu, langue millénaire, résonnent dans la chaleur des harmonies bulgares et les tensions du jazz répondent à l’énergie de la musique des balkans.
Les corps se mettent en mouvement, la piste de danse s’anime.
La fête est là, brillante, colorée, irrésistible !
Parfois intime, toujours subtile et dansante, la musique de Shikshuk Navad est une invitation au partage.
Gala Rivka Kurland : chant
Raoul Gourbin : accordéon & chant
Stuart Dickson : percussions
Camille Floriot : contrebasse
& invité·es :
26 juillet / Mirabelle Perry : clarinette
27 & 28 juillet / Yannis Pournaras : lavta
29 juillet / Simon Riou : saxophone

Inventé en Allemagne au milieu du XIXe, le bandonéon a très vite été le compagnon de route de marins allemands ou italiens, pour s’installer durablement à Buenos Aires et devenir l’instrument iconique de la musique du Río de la Plata : le tango.
Le musicien Hubert Plessis en a fait son instrument de prédilection, fort de ses rencontres avec de grands maestros tels que Juan José Mosalini, William Sabatier ou Marcelo Mercadante…
Cet été à la Cave Po’, il vous propose une semaine mêlant tango, improvisation et musique classique. En solo, en duo ou encore en sextet, rappelant les formations de la fin des années 20, son bandonéon vous fera voyager loin des rives de la Garonne.
> Mardi 9 août | Hubert Plessis solo
> Mercredi 10 août | En duo avec Liliane Robman (voix)
> Jeudi 11 août | En duo avec Louise Grevin (violoncelle)
> Vendredi 12 août | En trio avec Vidal Rojas (guitare) & Felipe Nichols (basse électrique)
> Samedi 13 août | Sextet tango
Marie-Laure Dupont (piano), Felipe Nichols (contrebasse), Louise Grévin (violoncelle) & Brian Chambouleyron (voix)
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6 > 13 €
1 h · Côté cour

Avec une voix aux accents argentins et des instruments aux influences diverses, le Cuarteto Tafí nous offre une rencontre entre salsa, flamenco, rebetiko, milonga, chacarera et sonorités électroniques.
Le groupe décloisonne toujours un peu plus son style musical en s’affranchissant de ses propres limites, pour proposer une fusion originale entre ses influences latino-américaines et des arrangements aux sonorités modernes.
Découvrez ses titres engagés et poétiques, comme autant d’hymnes à la vie, à la joie, mais aussi, parfois, à la colère et à la révolte.
Leonor Harispe : chant & textes
Ludovic Deny : bouzouki grec, bombo leguero & choeur
Matthieu Guenez : guitare & oud
Frédéric Theiler : percussions, programmations & choeur
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6 > 13 €
1 h · Côté cour
Réservations :
05 61 23 62 00
contact@cave-poesie.com
cave-poesie.com


Pérégrinations balkaniques à 20h30 !

– Pourquoi j’ai envie de danser et de pleurer en même temps ?
– Hein ? Parle plus fort, y’a du davul !
– Quoi ? Je t’entends pas avec l’accordéon !
– C’est quoi cet instrument ? Une gadulka, tu dis ?
Les cordes sympathiques de la gadulka répondent au soufflet de l’accordéon, qui rebondit sur la peau de la darbouka, qui fait résonner les cordes sympathiques, qui… Ça tangue et ça trébuche, ça caresse et ça crisse, ça court et ça suspend…
Prenant pour point de départ des airs et danses de Bulgarie et de Thrace, le trio Hein quoi ? nous livre son interprétation, improvise et s’égare pour mieux se retrouver.
Raoul Gourbin : accordéon
Florent Rousset : darbouka & davul
Gladys Vantrepotte : gadulka
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6 > 13 €
1 h · Côté cour
Réservations :
05 61 23 62 00
contact@cave-poesie.com
cave-poesie.com

Tous les mois, les soirs de pleine lune, la Cave Poésie offre une scène ouverte à toutes celles et ceux qui désirent monter sur les planches…
Chacun·e prépare une intervention de dix minutes maximum. Toutes les disciplines artistiques sont acceptées. Les inscriptions sont ouvertes quinze jours avant chaque soirée, elles sont libres et gratuites mais le nombre d’inscrit·es est limité, alors à vos agendas…
Attention ! Un délai de 6 pleines lunes est demandé entre 2 participations. (Et oui, il faut de la place pour tout le monde…)
Les inscriptions se font uniquement par téléphone à partir de 9 h 30.

La Cave Poésie soutient régulièrement les étudiant·es issu·es des classes d’enseignement artistique à Toulouse. Après le Conservatoire début février, place aux élèves de l’Institut de Formation de Musicien·nes Intervenant·es de l’Université Toulouse 2 Jean-Jaurès, sous la houlette de Caroline Bertran-Hours.

Pour cette cession, L’Erreür présentera Grin…
En voilà une qui se promène entre rap et chant dans un univers tantôt rentre dedans, tantôt sensible. Parmi ses dernières sorties remarquées, on relèvera deux featurings récents avec le beatmaker toulousain Al’Tarba. Influencée par le punk comme le jazz, elle propose une rencontre musicale bien à elle.
"Des fois, j’ai la mémoire courte et j’oublie que
nos valises pèsent méga lourdes.
Des fois, je fais genre que ça m’est égal pour apaiser le trigger,
mais spoiler alert ça fonctionnait très mal."

Une jam pour se plonger aux sources des musiques populaires algériennes…
Une jam comme une balade à la découverte des musiques du Maghreb, du diwane au malouf en passant par le raï et le chaâbi.
Voici le pari du #TRABTOUR.
Chaque fois, le #TRABTOUR accueille un « cheikh » pour mettre à l’honneur sa « senâa »(sa discipline musicale), partager avec lui son savoir et assurer une scène ouverte des plus festives et dépaysantes

Dans les années 80 et 90, Theo Hakola a animé Orchestre Rouge et Passion Fodder, deux groupes mythiques de la scène post-punk. Poursuivant depuis son aventure musicale, y compris pour le théâtre et le cinéma, il est également l’auteur de romans et d’une autobiographie, Non romanesque, qui vient de paraître au printemps dernier chez les Fondeurs de briques. Dans ce livre politique et intime, dans la lignée de Gramsci et d’Orwell, il interroge la notion de vérité sur fond d’élection de Donald T****. Il nous offre ce soir un concert intimiste piano et voix, l’occasion de revisiter les morceaux marquants de sa carrière.

Thibault Lévêque revient à la Cave Po’, avec une bande de copains, pour une nouvelle expo photo. Un vernissage en musique.
On garde les murs, on garde le photographe et on change les images. Une occasion aussi de présenter son dernier ouvrage, Tchachachao.
« Tchachachao » : les moments de liesse de Thibault Lévêque
Ne dérogeant pas à ses habitudes, le photographe s’est muni de son appareil argentique pour tenter, une fois de plus, d’assouvir une quête pourtant insatiable. Celle de l’impalpable liberté qui prend forme dans les moindres détails de l’existence. Anodins en apparence, mis bout à bout, ces petits éléments du commun déploient une singulière poésie, aussi authentique que fugace.

📆 Du mercredi 22 au samedi 24 mars
⏰ Ouverture des portes à 20h30, début du spectacle à 21h
🎟 6>13 €
Comme à son habitude, Claire Rengade aime s’entourer de musiciens. Ça joue, ça chante, ça parle, ça chante parle. Pour cette nouvelle carte blanche, la voici donc avec Pierre Horckmans et Pierre-Jean Étienne. Ces trois-là s’entremêlent et composent autour d’un texte de Claire paru en 2020 aux Éditions Espaces 34 : Et insubmersible dans la seconde qui suit.
Ni concert ni théâtre et un peu des deux, cette traversée tisse un mouvement commun de leurs voix, entre texte et clarinette, musique écrite et improvisation.
Cette expérience pour l’oreille, au bord d’une conversation, prépare la naissance d’un choeur d’acteurs la saison prochaine : le concert INSUBMERSIBLE.
"– y’a des gens qui se re-prononcent 
t’as vu ils répètent deux fois ils sont contents 
ils ont trouvé une formule qu’ils disent deux fois 
– ils ont pas de mémoire ? 
– non c’est le plaisir de répéter 
t’es inventeur 
t’as trouvé t’es inventeur 
le son tu le manges pas tu le mâches 
tu joues avec la pâte 
duplique duplique duplique"
/ Claire Rengade : texte & voix
/ Pierre Horckmans : composition, clarinette & voix
/ Pierre-Jean Étienne : jeu & voix

📆 Dimanche 26 mars
⏰ Ouverture des portes à 17h
🎟 3 / 5 / 7 €
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TRIBALISM3
> Transe noise
Autour de tournes de batteries répétitives et de bouts de mélodies romantiques, ce trio cherche sa propre transe entre chants de sirènes, basses distordues et batterie marteau. Le corps se laisse alors emmener par des nappes sonores synthétiques, appuyées par des sons de machines hantées.
/ Yann Joussein : batterie & compositions
/ Luca Ventimiglia : synthesizer & electronics
/ Olivia Scemama : basse
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TACLE
> Impro tendue
Tacle est un duo d'improvisation extrême guitare batterie plutôt rock dont la particularité principale est d'inviter une troisième personne pour chaque concert. Cette fois, en compagnie de Bastien Fontanille (AKA MC Ker-6)
/ Heddy Boubaker : guitare électrique
/ Xavier Tabard : batterie
/ Invité · Bastien Fontanille : vielle à roue

📆 Mardi 28 mars
⏰ Ouverture des portes à 19h, début du spectacle à 19h30
🎟 Prix libre
On retrouve le rappeur L’Erreür en compagnie d’Omar Paco, artiste engagé qui porte son histoire sur scène et tente de tracer un chemin entre Algérie et France. Son univers populaire raconte Alger, son enfance sous la décennie noire des années 90 et son exil en France. Un métissage musical avec des textes en algérois et en français qui joue à la frontière du documentaire.
"Liberté où t’es ?
Au bout du couloir
Même sous la censure l’art de mon pays perdure
J’ai juré de ne pas sauter dans ce trou noir
Bessm el hourria il n’est jamais perdu"

📆 Lundi 3 avril
⏰ Ouverture des portes à 20h30, début à 21h
🎟 Prix libre
Matías Mauricio (Argentine, 1978) est un poète, parolier et spécialiste du tango. Enseignant, chercheur et membre de l’Académie Nationale du tango de Buenos Aires, il dirige une collection consacrée au tango chez Mandrágora porteña.
Son dernier livre s’intitule : Tango post 2001 : estallido social y nuevas poéticas (2023).

📆 Du jeudi 1er au samedi 3 juin
⏰ Ouverture des portes à 20h30, début du spectacle à 21h
🎟 21 h / Tarif unique 10 € / Forfait 2 concerts 18 € (avec le concert flamenco de 19 h)
Chaque soir à 21 h, retrouvez des artistes qui nous ont fait vibrer ces dernières années à la Cave Poésie, jeunes talents ou artistes reconnus, venez partager avec nous ces coups de coeur.
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Jeudi 1er juin
/ Hadrien Moglia & Invité·es
"Il y a deux esthétiques principales que l’on peut distinguer dans le monde du flamenco. La première nous emmène dans un univers chorégraphié où tout est construit à l’avance, le risque toujours mesuré. Ici le flamenco est parfois au service d’un mouvement plus large, sert de prétexte musical à la mise en scène d’une idée, d’un concept ou simplement d’une histoire.
La seconde est de nature imprévisible et sauvage. C’est un flamenco qui se construit dans l’instant avec les lois qui structurent sa propre nature. Il manifeste avec éloquence ses ascendances primitives, semblant n’écouter que lui-même sans rechercher les applaudissements du salon ou du théâtre, pour se contenter seulement des échos de l’intimité et de la solitude. Les Andalous l’appellent "flamenco puro".
Il y a là une vraie place à l’improvisation, un dialogue entre les artistes avec pour seuls guide les codes liés à chaque style qui leur permettent de remonter le fil d’une Histoire dont ils ignorent l’existence au départ.
Voici le chemin que nous avons décidé de suivre pour Noche flamenca.
Bouleversés par le flamenco dès la première rencontre, nous continuons notre chemin poussés par un désir intime duquel nous retirons force et espoir ainsi qu’une foule de rêves musicaux : être plus que des musiciens et devenir des passeurs pour transmettre et faire partager au public la beauté de cette émotion originelle.
/ Anne-Lise Coste, La Nimeña : danse 
/ Jesus de la Manuela : chant 
/ Hadrien Moglia : guitare
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Vendredi 2 juin
/ Frédéric Toledano
Lors de ses nombreux séjours en Andalousie, dont sa famille est originaire, le guitariste flamenco Frédéric Toledano s’est perfectionné auprès de guitaristes tels que Gerardo Nuñez, Agustin de la fuente, Manolo Sanlúcar ou encore Juan Manuel Cañizares. Il propose aujourd’hui un répertoire varié où la tradition et les compositions personnelles alternent dans les différents palos ainsi qu’un répertoire mêlant standards flamenco-jazz et rumbas festives. Il se produit en trio avec au cajón le brillant percussionniste Miki Fernandez et à la basse par l’excellent Martin Detours.
Frédéric joue sur les guitares flamencas fabriquées par son père, José Toledano, et lui-même.
/ Frédéric Toledano : guitare
/ Miki Fernandez : percussions
/ Martin Detours : basse
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Samedi 3 juin
/ Rafael Pradal
Peu de musicien·nes s’aventurent à défier la guitare dans le répertoire du flamenco.
Rafael Pradal est de ceux-là.
Jeune pianiste virtuose, fils du chanteur guitariste compositeur espagnol Vicente Pradal et de la chanteuse gitane Mona Arenas, ce toulousain a développé un jeu structuré, nourri de références au cante et de techniques guitaristiques comme le trémolo ou le rasgueo. Ses qualités d’improvisateur, sa maîtrise de l’art de l’accompagnement en font un musicien recherché des cantaores ou des danseuses de Flamenco. Le voici en solo, face à son piano, pour un concert flamenco profond et flamboyant.
"Compositeur et interprète talentueux, Rafael Pradal s’inscrit désormais comme l’un des artistes incontournables qui font voguer le piano solo, aux côtés du Toulousain Philippe Léogé, mais aussi de l’Arménienne Macha Gharibian."
Elrik Fabre-Maigné, Culture 31, janvier 2017.

📆 Mardi 30 mai
⏰ Ouverture des portes à 19h, début du spectacle à 19h30
🎟 Prix libre
Nous avons décidé de placer cette dernière session R.A.P sous le signe de l’improvisation, élément clef de la scène rap. Des artistes surprise viendront discuter de cette pratique qui est devenue une discipline en elle-même et un art de la performance.
Pour clôturer cette saison, l’équipe du ShootFirst Club se joint à nous pour prolonger la soirée en open mic et dj set. Amateurs, amatrices ou confirmé·es, à vos micros !
/ Photo © Théo Tzelepoglou

📆 Du jeudi 1er au samedi 3 juin
⏰ Ouverture des portes à 18h30, début du spectacle à 19h
🎟 Tarif unique 10 € / Forfait 2 concerts 18 € (avec le concert flamenco de 21 h)
Maël Goldwaser s’empare d’un élément fondamental du flamenco : le compás, cette structure du temps qui se répète et sur laquelle se base la danse, le chant et le jeu des musicien∙nes.
Pour cette nouvelle création, il est allé piocher dans les outils rythmiques de la musique indienne pour venir bousculer les compases traditionnels et créer de nouveaux espaces rythmiques dans le flamenco qu’il compose. Accompagné du percussionniste Frédéric Cavallin, voici sa nouvelle création : Dialectiques du compás, titre emprunté à un poème de Serge Pey.
A COMPÁS expr. (en rythme) : Se dit d’une danse, d’une musique ou d’un chant qui suivent un patron rythmique, appelé compás. Cela signifie qu’il ou elle est bien placé∙e sur le rythme (Estar a compás : être en rythme), par opposition à quelqu’un∙e qui se tromperait en se décalant du rythme. Certains chants du flamenco ne suivent pas un patron rythmique et sont à l’inverse appelés « cante libre » (chant libre).
/ Maël Goldwaser : guitare
/ Frédéric Cavallin : tablas

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